Los Angeles Downtown la nuit. Un homme habillé avec une veste en cuir noir et portant un sac est pourchassé par une fille. Il court jusqu'à une voiture parquée et alors qu'il ouvre la portière conducteur il reçoit un coup de pied dans le dos par derrière, il se heurte contre la porte ouverte et tombe sur le sol.
Kate debout sur lui : Seigneur, Spivey, désolée. Je crois que je me suis mal exprimée. (L'homme essaie de se lever et elle le met à terre nouveau) Tu m'as résisté. Tu devais venir au commissariat et répondre à quelques questions pour moi, tu te souviens ?
Spivey : J'ai oublié !
Kate l'empoigne et le frappe sur le coffre de la voiture.
Kate : Ce n'est pas quelque chose qu'une fille aime entendre. Je pense qu'on va juste oublié l'invitation informelle et faire les choses officielles. (Elle lui met les menottes ) Tu as le droit de garder le silence, mais ce n'est pas recommendé.
Plans sur la pièce d'interrogatoire.
Kate : Regarde ces photos.
Spivey : J'ai vu les photos.
Kate : Qu'est-ce qu'il y a sur ces photos.
Spivey : Moi et Little Tony Papazian. Je ne sais pas où il est. Ecoute, combien de temps on va faire ça ?
Kate : Ainsi, tu ne l'as pa vu depuis le jour où la photo a été prise ? (Spivey reniffle et regarde au loin). Aujourd'hui le Superviseur Caffrey a été trouvé assassiné !
Spivez : J'ai entendu dire que c'était un suicide.
Kate : Le Superviseur Caffrey s'est tiré dessus lui-même...
Spivey : Ca arrive.
Kate : Dans l'arrière de la tête ? Il s'est enveloppé lui-même dans du plastique et s'est enfermé tout seul dans le coffre de sa voiture ?
Spivey : Il devait être dépressif.
Kate : Où est Little Tony ?
Spivey : Burbank, Stockholm, La Planète Mongoel. Je n'ai aucune idée de l'endroit où il est ! Je perd patience avec ces merdes.
Kate : Pas moi. Je viens juste de commencer. J'ai eu un grand déjeuner. Je pourrais faire ça tout les jours.
La caméra fait un plan à travers un mirroir sans teint où un groupe d'homme regarde l'interrogatoire.
Harlan : Ne doit-elle jamais faire pipi ?
Spivey se lève : Bien tu veux jouer toute la journée ? Joue toute seule ! Tu m'inculpe ou laisse-moi partir, parce que je te l'ai dit, rien.
Kate : Regarde les photos.
Spivey : Mords moi.
Kage l'empoigne par la gorge et le frappe contre le mur.
Kate : Où est-il ?
Les gars de l'autre pièce entrent et éloigne Kate de lui. Spivey tient sa gorge toussant pendant que Kate sort de la pièce.
Plan sur Kate mettant ses mains sur une rampe. L'inspecteur Harlan s'appuie contre à côté d'elle.
Kate : Désolée.
Inspecteur : Oui, et bien on aurait du vous sortir de là il y a quelques heures.
Kate : Il ne parlera pas.
Harlan : Puis Little Tony est bien quand il est loin. Nous ne pouvons pas le trouver, et je ne connais personne qui le peux.
Plan sur Angel se défendant contre quelques serpents avec des tentacules possédant des bouches à leurs extrémité qui continue de l'attaquer. Doyle et Cordy arrivent.
Angel : C'est pas trop tôt !
Doyle sort une épée de son sac.
Doyle : Il n'y a pas beaucoup de marchands d'épée enchantée le dimanche.
Angel coupe l'une des tentacules pour lui puis tranche dans le ventre de la chose visible par un trou dans le plafond au-dessus de lui. Quelque liquide vert clair gicle en bas
Angel : Vérifiez que vous avez coupez tout les membre et les deux têtes cette fois. Souvenez-vous d'enterrer les parties séparément. (Il jette l'épée à Doyle alors qu'il part) Je ne veux pas que cette chose revienne à nouveau à la vie.
Cordy : C'est tout ?
Angel : Je vais aller nettoyer le nid. Je vous vois au bureau.
Cordy : Ok, est-ce que je me trompe en pensant qu'un "s'il te plait" et "merci" est géneralement considéré comme une bonne formule quant on demande un démembrement ?
Doyle : Je pense qu'ils nous apprécie, à sa propre manière d'innappréciation.
Cordy sort un couteau du sac : Tu veux savoir ce que je pense ? Je crois qu'il utilise cette créature torturée de la nuit comme une licence pour être rude et insensible ! (Une tentacule s'enroule autour du cou de Doyle, Cordy ne le remarque pas alors qu'elle commence à trancher le monstre). Bien sur il est poli avec les sans espoirs et les , mais il ignore les personne qui sont les plus proche de lui. Les personnes qui compte le plus, tu sais ? (Doyle est encore étranglé) Peux-tu dire ignorant ?
Intro
Plan sur le bureau d'Angel le jour suivant. Cordy et Doyle entrent fatigués et recouvert de gel gluant vert.
Cordy à Doyle : Tu pesnes que ce vomi de tentacule partiria au nettoyage à sec ?
Angel regarde les papiers qu'il tient.
Angel : Ah, bien, vous êtes de retour. Cordélia, on a besoin de...
Cordy : Non ! (Angel la regarde) Je ne m'occupe pas de ce qu'il va arriver. (Elle s'assied et commence à feuilleté un magazine). Des astéroïdes vont heurter la terre ? Je m'en fiche. Le mal monte de la Vallée de San fernando. Jar-Jar va avoir son propre show... Quoi que ce soit, je ne veux pas l'entendre. Pas jusqu'à ce que tu nous demande comment on va.
Angel : Rappelle ta maman. Elle a téléphoné en disant qu'elle aimerait te parler. Et de quoi est-ce que tu parlait ?
Cordy : Tu doit te rappeler que tu nous as laissé dans les égouts avec un calamar géant ?
Angel : Oui, et vous étes tous les deux ici. Aussi je présume que tout c'est bien passé, non ?
Cordy : Oui, ça s'est bien passé. Bien sur que c'est bien allé, ok ? Ce n'est pas le problème.
Angel : Donc il y a un problème.
Cordy : Vivre, c'est aussi montrer un peu d'intérêt dans les sentiments des autres.
Angel secoue la tête et regarde Doyle interrogatif.
Doyle : Et bien, elle pense que tu es insensible.
Angel : Et bien je suis un peu réservé, ça ne veux pas dire que je ne m'inquiète pas.
Cordy : C'est comme si tu n'avais pas de coeur.
Angel : C'est le cas.
Cordy : Et bien prend un peu de temps pour écouter comment les vivants agissent réciproquement.
Kate entre dans le bureau.
Angel : Kate.
Kate : Angel, tu as une minute ?
Angel : Bien sur. (Ils se dirigent vers son bureau) Café ?
Kate : Ça va.
Cordy regarde la porte se refermer derrière eux.
Cordy : M. et Mme Spock ont besoin de se mêler l'esprit maintenant.
Plan sur Angel regardant quelques photographies.
Kate : Il s'appelle Tony Papazian, son nom de rue est Little Tony, c'est un gars méchant. Nous avons déjà un indice contre lui pour le meurtre du Superviseur du comté, seulement un problème, nous ne savons pas ou envoyer la cavalerie.
Angel : Vous ne pouvez pas le trouver.
Kate : Il est encore dans la ville, nous en sommes sur. Mais toutes mes sources sont silencieuses.
Angel : Tu veux que je m'en mêle ?
Kate : Je te paierai pour tout ce que tu voudras.
Angel : Je te dois déjà quelques faveurs, tu n'as pas besoin de...
Kate : Ce n'est pas une faveur, c'est un job. C'est comme ça que nous le ferons. (Elle lui tend une morceau de papier) C'est ma ligne directe.
Angel le prend : Ok.
Kate : Le temps est un facteur. Tony essaie de quitter la ville.
Angel : Je l'aurai.
Kate : Trouve le et appelle moi. Ne fait rien à ce sujet. Tu n'as pas à être mélé à cette affaire.
Angel : Tu ne veux pas avoir la réputation de sortir de ton département.
Kate : Je ne veux pas avoir la réputation de t'avoir fait tuer.
Plus tard. Cordy regarde dans des fichiers, Doyle fait des recherche sur l'ordinateur.
Angel : Quelque chose ?
Doyle : Plaintes contre Papazian, les connaissances connues, ces antres favorites, mais tu dois savoir que les flics ont déjà vérifié tout cela.
Angel : Oui, mais nous ne les avons pas fait.
Doyle regarde Angel puis désigne Cordy avec sa tête et fixe ses sourcils sur Angel.
Angel maladroitement : Cordélia, je voudrais, tu sais, te remercier de regarder ces rapports du médecin légiste. Parce que je peux imaginer que ce n'est pas amusant de lire, tu sais, les choses médicales.
Cordy : Bidon.
Angel regarde Doyle qui secoue sa tête.
Angel : Qu'est ce que tu as ?
Cordy : Ce type a clairement des problème de gestion de colère. Tu as des victimes et des parties de victimes disséminées partout dans la côte sud de la Californie
Angel prend un document : Long Beach, San Pedro, Carlsbad. (à Doyle). Prends les organigrammes des marées pour les 10 derniers mois. Contrôle ces dates avec celles des meurtres.
Doyle : Les marées ? Quoi, tu pense que ce type a un dépotoir primaire autour ? Peut-être que toutes ces victimes étaient originaire du même endroits ?
Angel : Quelque part Little Tony se sent en sécurité.
Plan sur le poste de police. Un homme aux cheveux blanc et en uniforme entre.
Kate : Papa.
Lockley : Katie.
Kate : Je t'ai vu. Tu avais prévu de dire bonjour ?
Lockley : Je pensais que tu travailles. (Kate acquiesce) Je ne reste pas longtemps de toute façon. (Il sort un dossier) je viens juste prendre quelque formulaires de retraite dans les rapports... Si tu penses que tu as beaucoup de paperasserie au travail, attends ta retraite.
Kate : Harlan dit qu'ils ont prévu une soirée d'adieu au Blue Bar.
Lockley : Seulement quelques gars qui essaie de me donner un dur moment. Pas un grand marché.
Kate : Et bien, il a dit que je pouvais dire quelque chose, tu sais, juste quelque mots pour marquer l'occasion, montrant que tu es mon père.
Lockley : Ce sera bien. N'ait pas d'ennui.
Kate : Il n'y a pas de problème vraiment.
Officier à Kate : Inspecteur vous avez un appel au 329.
Kate à son père : Merci. Je crois que je ferais mieux...
Lockley s'en va : Oui.
Kate le regarde un moment puis va décrocher le téléphones.
Kate : Lockley.
Angel dans sa voiture : 8843 Hyperion Way directement au Quai 39.San Pedro.
Kate : Tu l'as trouvé, tu es sur ?
Angel regarde à travers des jumelles.
Angel : Max Salvage Depot. Coté nord-ouest. Il a quelques muscles sous la main.
Kate : Je suis sur le chemin, reste en dehors de ça.
Angel raccroche le téléphone. Reprend les jumelles à nouveau alors qu'il entend quelque chose. Un yatch arrive pour prendre Little Tony.
Angel : Merde.
Tony : Et n'oublie pas d'arroser mes plantes.
Muscle : Oui.
Tony : Parle-leur. Elles aiment ça.
Angel arrive à coté de Benny portant une chemise hawaïenne et un chapeau blanc.
Angel : Salut. C'est excitant, n'est-ce pas ? J'aime les voyages en bateau.
Tony : Qui est le capitaine ?
Angel : Herb Saunders, Baltimore.
Benny à Tony : C'est Herb Saunders.
Angel : Dingues les autoroutes que vous avez dans cette ville. J'ai tourné en rond toute la journée en voiture. Mais la brochure disait que le bateau partait toutes les 2 heures.
Benny : Je pense que vous êtes perdu.
Angel montre le yatch : Ce n'est pas le bateau pour Catalina ?
Benny : Non.
Angel : Vous êtes sur ? Je peux vous jurer que le ticket dit Quai 39. (Il fouille ses pochoes) C'est ici quelque part. Je l'avais.
Benny : Viens, part d'ici.
Tony : Benny, je n'aime pas ce gars.
Angel le frappant : C'est le chapeau n'est-ce pas ? Je savais que le chapeau était de trop.
L'autre musclé attaque Angel et il le fait tomber avec quelques coups. Tony court, mais il est arrêté par une car de police avec les sirènes hurlantes.
Kate sort de la voiture et pointe un pistolet sur Tony.
Kate : Salut Tony.
Plus tard. Tony est assis menotté à l'arrière d'une voiture de police.
Kate à Angel : Quel partie de "Reste en dehors de ça" t'as posé des problèmes ?
Angel : Je devais faire quelque chose. Je veux dire, il allait partir.
Kate : Aussi tu as décidé de t'habiller comme un phare (Angel enlève son chapeau et passe une main dans ses cheveux) et mis ma vie et la tienne dans la ligne (Angel ne sait pas quoi dire). Écoute, va-t'en. Je trouverai quelque chose à dire à mon lieutenant.
Tony et Angel se regarde alors que la voiture de police part.
Plan sur le commissariat.
Tony : Je veux mon appel téléphonique.
Kate : Tu dois annuler ta suite au Yerevan ? Tu penses que tu peux encore avoir ton dépôt en retour ?
Tony : Tu me cours après depuis un long moment, n'est-ce pas mon coeur ? Si j'avais su comment tu me voulait, j'aurais du te laisser m'attraper un petit peu plus tôt.
Kate : Si j'avais su à quel point tu avais besoin d'exercice, je t'aurais laissé courir un petit peu plus longtemps.
Plan sur un bureau sombre. Le téléphone sonne.
Réceptionniste : Wolfram & Hart.
Little Tony : Passez-moi Lee Mercer.
Mercer faisant les 100 pas dans le bureau : Oui M. Papazian, nous sommes tous bien conscient de la situation.
Tony : Etes-vous conscient que j'ai une certaine épine de mon côté ?
Mercer : Oh, oui, nous comprenons les facteurs très clairement. Et je crois que je peux vous faire quelques confidences (un fax s'imprime) que cette épine va être effacée. ( Il prend le fax, il y a une photo et des information sur Kate) De manière permanente.
Plan sur le commissariat, un sténographe enregistre la conversation entre Tony, son avocat, Kate et son lieutenant.
Mercer : Et ici c'est votre copie des documents de justice demandant le transfert de notre client hors de cette enceinte.
Lieutenant : Pour quelle raison ?
Mercer : Pour sa propre sécurité.
Kate : Oh, il a peur de rester avec nous ? (A Tony) Tu as besoin d'une veilleuse ?
Mercer : Je veux que cela soit noté dans l'enregistrement. M. Papazian est énormément stressé dû aux abus infligé par les mains de vos officier et par un assaillant inconnu que nous croyons être en ligne avec l'inspecteur Lockley au moment de l'arrestation.
Kate : Je ne sais rien à ce sujet, Monsieur.
Tony : Je t'ai vu lui parlé.
Kate : Oui, c'était avant ou après que tu aies tué le superviseur Caffrey, toi morceau gras de...
Lieutenant : Assez.
Mercer : Je veux ses accusations verbales entrée dans l'enregistrement.
Kate : Thh...
Mercer : Ce 'Thh', aussi.
Lieutenant : Tout les droits de M. Papazian seront respecté...
Mercer : M. Papazian est un client très important de Wolfram & Hart. Violez un seul de ses droits et il y aura de sérieuse répercussions.
Kate : Et que'est-ce que ça veut dire exactement ?
Mercer : Ca signifie que cela ouvrira ce cas à la cour de l'opinion public. Ca signifie qu'on fera briller les coins sombre de ce commissariat et donner aux personnnes une vue claire de la brutalité et la dureté de cette force de police cela fera de Mark Fuhrmann ressemblera à Gentle Ben.
Tony : Tout le monde devrait avoir un avocat comme lui.
Plan sur Cordy assise à son bureau dans les bureaux d'Angel.
Cordy sourit à Angel : Alors, comment c'est d'avoir finalement un simple cas de "criminel humain" ? C'est terminé ?
Angel se sert un café : Oui.
Cordy se lève : Attends, tu as ton visage pensif.
Angel : J'ai toujours le visage pensif.
Cordy : Et bien, le visage très pensif.
Angel : Je ne suis pas sur que cette affaire soit terminée, c'est tout. Il y a quelque chos avec Little Tony.
Cordy : Quelle chose ?
Angel : Hmm, juste un pressentiment.
Cordy : Ah, hmm !
Angel :Quoi ?
Cordy : Rien, je trouve juste infiniment fascinant la manière dont tes sentiments sont accordés quand ils sont accordés, mais tu n'as fait aucune remarque sur mes nouvelles chaussures.
Elle montre ses sandales oranges.
Angel : Ecoute Cordelia. Les chaussures des femmes... Les hommes... (La porte s'ouvre et Doyle entre) ils ne...
Doyle : Génial les chaussures ! Nouvelle ? (à Angel) Tu avais raison, Papazian prépare quelque chose.
Cordy frappe Angel sur le bras et part.
Angel : Qu'as-tu entendu ?
Doyle : Que Papazian prépare quelque chose.
Angel : Et c'est ?
Doyle : Johnny Red dit, je cite : Papazian prépare quelque chose.
Angel acquiesce : Je pensais qu'il devait préparer quelque chose.
Doyle : Tu vois, tu avais raison.
Cordy regarde de l'un à l'autre et secoue la tête.
Plan sur le Blue Bar. Kate est félicitée par quelques officiers alors qu'elle se dirige vers le bar.
Officer : Joli travail, Lockley.
Le barman ouvre une bouteille de bière et la pose en face d'elle, Kate cherche de la monnaie.
Barman : Non, non, ton père a payé la boisson.
Kate prend sa bière et s'assied à la table de son père.
Lockley : Tony Papazian, hein ?
Kate : Oui.
Lockley : Et bien, félicitations.
Kate : Merci.
Lockley lève son verre : Ici on espère que le buste ne tombera pas en morceau avant que vous ne finissiez de classer la paperasserie. Damnés avocats, hein ?
Kate : Oui.
Lockley voit un homme venir à leur table.
Locley : Harlan.
L'homme tient une feuille de papier en face de Kate.
Harlan : Tu vois ça ?
Kate le regarde : Entrainement sensitif ?
Harlan : Tout le monde doit le faire. On dit que c'est à cause de ce que tu as fait à Papazian.
Kate : Qu'est-ce que j'ai fait ? Oh, quelqu'un va payer pour ça!
Harlan : Tu penses qu'ils nous feront un câlin ?
Kate lui rend la feuille : Je ne te ferais pas de câlin.
Lockley : Heureux de partir. De mon temps, nous n'avions pas besoin de cette maudite sensibilité.
Plan sur la session d'entraînement au commissariat.
Allen : Je devine que très peu d'entre vous ont envie d'être là maintenant. (Il lève sa main) Levez la main, qui veux vraiment être ici ?
La caméra se tourne vers les officiers assis dans la pièce. Personne ne lève la main.
Allen : Bien, . Ce que je vais faire, c'est vous donner quelques outils pour vous aider à expérimenter le large éventail des émotions humaine. Apprendre cela ne fera pas de vous de meilleures personnes, cela vous aidera à désamorcer des situations volatiles dans le domaine; cela vous permettra de gérer quelques unes de vos agression, ainsi vous ne vous sentirez pas aussi fatigué tout le temps. Cela fera de vous de meilleur policier. Ceci est l'un des outils que nous allons employer (Il lève un bâton). Ça s'appelle un bâton de parole. (Il lève la main alors que quelques policiers ) Je sais, ça semble idiot. Mais ça marche, si vous lui donnez une chance. C'est notre contact avec chacun. Celui qui tient ceci à le droit de s'exprimer complètement, sans jugement, dans les limites de cette pièce. (Il donne le bâton) Heath ?
Heath : Je ne le pense pas.
Allen : Allez allez-y, donnez-lui une chance. (Heath prend le ) Maintenant pourquoi ne commenceriez vous pas par nous dire quelque chose sur votre famille. Comment avez-vous grandi ? Des frères et soeurs ?
Heath : 6 frères.
Allen : Et c'était comment ?
Heath : J'ai appris à riposter assez vite.
Allen : Tes frères étaient durs avec toi, hein ? Où étaient tes parents ?
Heath : Il y avait juste ma mère. Elle a fait du mieux qu'elle pouvait.
Allen : Donc vous avez du devenir dur, directement après la porte. Vous avez enfermé vos émotions ? C'est ok ! Vous avez notre permission pour être honnête. Y a-t-il quelque chose que vous avez toujours voulu dire à votre maman, mais jamais pu ?
Kate : Voulez-vous m'épouser ?
Les autres rient doucement.
Allen : Kate, vous aimeriez partager quelque chose ? Nous aimerions l'entendre.
Kate : Non, vraiment pas.
Allen la met au défi : Effrayée ? (Kate prend le bâton avec un demi sourire) L'émotion véritable vous rend mal à l'aise. C'est ok. Vos sarcasmes inappropriés masquent votre colère. Et vous savez ce qu'est la colère Kate ? C'est juste de la peur. La peur d'être blessée. La peur de perdre. Vous avez été blessée, n'est-ce pas, Kate. Et vous êtes effrayée de l'être à nouveau. De qui avez-vous peur ?
Plan sur Angel et Doyle parlant à Johnny Red sur sa machine d'exercice.
Johnny : Si je savais.
Doyle : Oui, mais tu m'as dit que tu avais entendu quelque chose, non ?
Johnny exaspéré : Il prépare quelque chose, c'est tout ce que j'ai entendu.
Angel : Qui t'en a parlé ?
Johnny : Des gars qui bossent pour Little Tony. Ils étaient dans mon cours de spinning jeudi soir.
Angel : Bien, qu'est-ce qu'ils ont dit exactement ?
Johnny : Oh, ils ne me parlaient pas vraiment. Ils parlaient à un groupe de mec de l'équipage du Izzy Broncato. J'ai entendu parce qu'ils ont du crier par dessus le bruit des vélos.
Doyle : Quoi, et tous ces mecs étaient dans ton gymnase ?
Johnny : "Ouais.
Doyle : Pourquoi, tu as une sorte de tarif voyou spécial ici ?
Johnny : Non, mais si vous voulez vous inscrire, j'ai un rabais pour vous avoir amené ici.
Angel : Les hommes, qu'est-ce qu'ils ont dit ?
Johnny : Les gars d'Izzy, ils ont dit aux hommes de Little Tony, tu sais, maintenant que LT est sur le point de chercher un nouvel emploi. Mais les gars de LT ont dit non, parce qu'aucune chienne stupide ne pourrait obtenir le meilleur de LT.
Angel à Doyle: Tu sais ce que ça veut dire ?
Doyle : LT s'est pour Little Tony, ouais ?
Angel secoue la tête : Ca veut dire qu'il en a après Kate.
Plan sur la station de police. Angel entre.
Kate : Angel.
Angel : Nous devons parler.
Kate : Je sais. Je veux m'excuser pour l'autre nuit.
Angel : Tu n'as pas besoin de faire ça.
Kate : Ce n'est pas ce que dit mon entraîneur sensitif. Bien, c'est une assez jolie gaffe, non ? Encore merci pour ce que tu as fait.
Angel : Ce n'est rien.
Kate : Ecoute, que fais-tu demain soir vers 20h00 ? Mon père à sa soirée de départ en retraite, avec un groupe de ses anciens collègues. Je suis supposée dire quelques mots. Ce serait sympa s'il y avait au moins une personne, qui ne serait pas, tu sais, armé. C'est une faveur.
Angel : Oui.
Kate : Ok, c'était facile. Je suis soulagée. Quelque chose ne va pas ?
Angel : Kate je pense que tu peux être en réel danger.
Kate : Ok, la partie soulagement est finie.
Angel : J'ai entendu des choses. Je n'ai pas les détails maintenant, mais je pense que ce Papazian est en train de mettre un contrat sur toi.
Kate : Waouh.
Angel : Je vais rester sur cette...
Kate : Il est vraiment bon acteur, n'est-ce pas ?
Angel : Et bien oui ! Il veut ta mort.
Kate : Oh, je m'occupe de ça. Je disais seulement qu'il devait être dans une sorte de douleur pour rayer les autres par ce moyen.
Angel : Tu vas bien ?
Kate : Oh seigneur, écoutez moi. Soudainement je suis Dr. Laura. La prochaine chose que tu sais dont je parlerai sera le traitement et mon enfant. Je suis sure que je reviendrai à mon usuel degré de cynisme dans peu de temps.
Angel la regarde.
Plan sur une maison sombre.
Allen : Je ressens quelques tension. Je pense que vous devriez m'en parler. Que ressentez-vous ?
Mercer : Impliqué. Nous avons fait de grands efforts et de grandes dépenses pour vous avoir dans cette circonscription. Ça marche ?
Allen : Bien sur que ça marche. Après la session de demain, vous verrez les résultats. (Il marche et regarde un autel couvert de tissu rouge et de bougies allumées) Des résultats incroyables.
Mercer : Ca me fait tout chaud à l'intérieur.
Plan sur la soirée de retirement au Blue Bar. Il y a un caket et une bannière ouil est inscrit "Heureuse retraite Trevor". La place est remplie de policier. Angel et Kate entrent.
Kate : Je suis effrayée et excitée. Et consumée par la terreur. Et contente que tu sois là.
Angel : Je doute que les tueurs de Little Tony veuillent essayé quelque chose dans une pièce pleine de policiers.
Kate : Quoi ? Oh, ça, la menace mortelle accrochée sur ma tête. Non, je pensais à parler en public.
Angel : Et bien, essaie ce vieux truc d'imaginer ton public dans leur sous-vêtements ?
Kate le regarde : Je t'imagine déjà.
Kate se dirige vers son père et l'embrasse sur la joue.
Kate : Bonne retraite, papa.
Lockley : Qui c'est ?
Kate : Oh, c'est Angel. C'est un ami. Angel, voici mon père.
Angel : Bonjour, M. Lockley. Félicitations.
Locley : Pour quoi ? Tout ce que j'ai fais c'était de vivre si longtemps sans me faire tuer.
Kate : Pourquoi fais-tu ça ?
Lockley : Faire quoi ?
Kate secouant la tête : Prétendre que les choses importantes ne sont rien ?
Lockley : Angel, depuis combien de temps vous voyez Katie ?
Angel : Nous sommes, heu, nous sommes d'assez récents amis.
Lockley : Et bien, c'est bon de la voir sortir avec un homme. Je commençais à me demander si elle ne partais pas dans une autre direction finalement.
Lieutenant : Très bien tout le monde, avant que nous coupions le gateau, l'autre officier Lockley, celui qui est le plus plaisant à regarder, voudrait dire quelques mots. Kate ?
Des applaudissements fusent pendant que Kate pose son verre et va se placer à un bout de la salle.
Kate : Bonjour tout le monde. Bienvenue à la fin d'une ère. Maintenant le vieux monsieur qui aimerait nous faire croire qu'il ne pouvait pas se soucier moins de toutes cette attention et se libérer de la bouteille. (Rires) Mais je le connais mieux que ça. Il a passé plusieurs années dans ce métier, et il a fait une différence dans beaucoup de vies. (Acclamations dispersées, son père s'assied) Et maintenant, c'est terminé. C'est une grande affaire, malgré ce qu'il dit. En fait, je ne suis pas sûre si il sait ce qu'il va faire lui-même. Il a oublié comment être autre chose qu'un policier il y a longtempt. Et peut-être, peut-être que c'est pour ça qu'il est devenu un policier aussi. Après la mort de maman, tu as arrêté, tu sais ? C'était comme si tu ne pouvais supporter ma vue. Son visage, ses yeux te regardant. Mais les grandes filles ne pleurent pas, juste ? Tu as dit, c'est fini, et il était inutile de se vautrer. Ramper et salir et rien, pour toujours. Pas un mot sur une meilleure place. Tu ne pouvais même pas dire à une petite fille effrayée un beau mensonge. (elle sanglote) Seigneur, je voulais boire avec toi. Je voulais que tu ries avec moi juste une fois, comme tu le fait avec Jimmy ici, ou Frank.
Lockley : Qu'est-ce qu'ils lui ont fait dans cette classe ?
Angel jette un coup d'oeil à son père.
Kate joue avec son sac : Ma meilleure amie Joanne, sa maman était douce et elle sentais comme les macaronis au fromage, et elle me prenait sur ses genous et elle voulait me . Elle disait qu'elle voulait me garder pour elle. Elle disait que j'étais bonne et douce. Tout le monde disait que je l'étais. Est-ce que tu réalise que tu ne m'a jamais dit que j'étais jolie ? Pas une fois dans ma vie.
Harlan : Continue, Katie.
Kate : Et bien, je ne peux plus, papa. Je ne peux pas faire la campagne pour l'office de ta fille bien-aimée. Tu as fermé ton coeur après que maman nous ait quitté, et c'est tout.
Elle sanglote.
Harlan : C'était si courageux.
Lieutenant : Tu plaisantes ? Le sujet n'étais pas la fête du vieil homme.
Harlan : Elle ne s'inquiète plus de le protéger.
Angel et Kate regardent les 2 officiers se parler.
"Laisse sortir, Dale. J'ai toujours su que ta mère étiat aux commandes." - "Je suis passif-agressif ?" - "J'entends quelques refus."
Lieutenant à Harlan : Elle a abusé du processus. Je vais lui dire.
Harlan : Avec cette percée ? Tu es complètement bloqué.
Lieutenant : Votre besoin de sentiments n'a pas sa place ici.
Harlan l'empoigne : Je te donnerai des sentiments !
Harlan étale le lieutenant sur une table et commence de le frapper. Angel tire Harlan et Lockley sort le lieutenant. Les autres policiers se disputent, pleurent ou se battent.
Lockley : Garde les ensemble veux-tu Jimmy ? Rammène-le à sa circonscription, laisse le dormir avec les alcooliques. Fait la même chose avec les autre.
Angel mène Kate dehors : Faisons comme les sages.
Plan sur le bureau d'Angel. Il fait encore nuit. Cordelia entre.
Cordy : Voilà, je suis là. Quelle est la grande urgence ? Ces heures au milieu de la nuit sont vraiment en train de manger ma vie sociale potentielle. (Entre dans le bureau du fond) Pourquoi ai-je jamais pensé que c'était une chouette idée de travailler pour un vam... (Elle voit Kate vautrée sur une chaise) ...triloque. Salut !
Kate : Salut.
Cordy les regarde, Doyle secoue la tête. Angel tend une tasse à Kate
Angel : Bois ça.
Kate regarde Angel : Tu as les yeux les plus intenses que j'ai vu. On a l'impression que tu es plus vieux qu'il n'y parait.
Doyle : C'est un peu ça, tu sais.
Kate : Je pensais que cette chose mystérieuse était juste un acte pour attraper les femmes. La vérité, c'est que tu n'as pas une once de sincérité dans ton corps, n'est-ce-pas ?
Angel : Kate, j'ai besoin que tu me parles de ton entrainement de sensibilité. Qui te le donne ?
Kate : Tu veux venir ? C'est assez merveilleux. (Elle met une main sur sa poitrine) Il te touche où tu vis.
Angel : J'ai besoin de son nom.
Kate secoue la tête : On a tous besoin, tant besoin.
Cordy à Doyle : Quel est son problème ? Trop ... (fais un signe pour la boisson avec son pouce levé vers sa bouche)
Doyle : Sucer son pouce ?
Cordy : Alcool ! Idiot.
Doyle : Ne me regarde pas comme ça. Je ne suis pas le seul qui a besoin de brosser leur pantomime du doigt. (il soupire) C'est quelque chose qui a à voir avec l'entraînement qu'elle a au travail.
Kate donne son avis au sujet de l'entraînement sensitif à Angel ensuite se lève et marche vers Cordy et Doyle.
Kate d'une voix chantante : Quelqu'un a un béguin.
Doyle : Quoi ?
Kate à Cordy : C'est juste ici, ce qu'il ressent pour toi. Et tu ne sais pas quoi faire à ce sujet.
Cordy : S'il te plait ! On plaisantait.
Kate : Où est la vérité ? Où est la vérité ? Il se cache derrière M. Humour. Je veux dire, regarde, regarde Doyle, regarde le vraiment, que vois-tu ?
Cordy : Un mauvais mélange de styles ?
Kate : C'est de la défense, Cordelia. Peut-être que tu devrais ouvrir ton coeur à une nouvelle possibilité !
Doyle : Hé, tu sais, elle commence à être sensée...
Cordy hurle : Angel !
Angel revient : J'ai son adresse. 322 Fletcher.
Kate à Angel : Quels sont tes secrets, Angel ? Pourquoi tu ne m'en parles pas ?
Cordy : Je suis trop heureuse, je suis venue pour voir 'Latenight' avec la femme flic effrayante.
Angel : Tu es venue ici pour rester avec elle pendant que je cherche cet homme. Ne la perd pas de vue.
Plan sur Angel marchant dans la chambre des bougies allumées sur l'autel. Le baton est posé sur un livre ouvert.
Allen : Qu'est-ce qui se passe ici ?
Angel : C'est une bonne question, Allen.
Plan sur Kate se balançant sur chaise tenant ses genoux.
Cordy : Est-ce que tu veux un peu de café ou du valium ou les deux ?
Kate : Il s'est éloigné de moi. Il est juste partit.
Cordy : Oh, il reviendra.
Kate : Pas Angel, mon père.
Cordy : Oh
Kate se lève : Je dois le trouver.
Doyle : Peut-être que tu devrais te tenir à distance le temps revienne.
Kate : J'ai entendu ce que tu as dis, mais je doit trouver mon père maintenant.
Doyle : Detective Lockley, vous n'êtes pas exactement vous-même pour le moment. Pourquoi est qu'on ne ....
Kate : S'aider les uns les autres !
Doyle : Juste, en restant ici ensemble.
Kate : Oui, on pourrait faire ça, mais vous voyez j'ai ce...
Cordy : Problème personnel que tu vas partager jusqu'à l'aube ?
Kate sort son arme de son sac et le pointe autour d'elle.
Kate : ...pisotolet, et je n'aimerais pas devenir insensible, mais si l'un de vous essaie de m'arrêter, je devrai m'en servir contre lui, parce que je vais chercher mon père.
Cordy et Doyle la laissent partir.
Plan sur Angel faiant les cents pas devant l'autel.
Angel : Quel démon adorez-vous, hein ? Lequel vous a donné vos pouvoirs ?
Allen : Un groupe entie à vrai dire. Je suis polytheist.
Angel : Je ne suis pas ici pour jouer.
Allen se tient loin d'Angel : Vous avez la rage. Je sens ça.
Angel : Qu'avez-vous fait à Kate Lockley ?
Allen : Vous savez ce qu'est la colère ? Ce n'est rien que de la peur.
Angel : Oui, et bien, je sais ce qu'est la peur, je peux la sentir juste maintenant.
Allen : C'est bien. Donnez-vous la permission de vous ouvrir. (Angel le regarde en fronçant les sourcils) Comment étaient vos parents ?
Angel esquive alors qu'Allen essaie de le frapper avec le baton.
Angel : Mes parents étaient géniaux. (Il empoigne un bout du baton , se change en vampire et pousse Allen contre le mur avec). Ils avaient le gout de poulet. Pourquoi ne parlerais-tu pas, hein ?
Plan sur le commissariat. Tous les policiers sont devenu très sensibles. (Ils se disputent, ils pleurent, ils hurlent...)
"Désolé, j'étais insensible, George !" - "Ecoutez, j'ai une révélation !"
Heath sort quelques clés de sa poche . "Ce n'est pas juste. Tous enfermé ensemble comme ça. Les plus forts harcelant les plus faibles."
Plan sur un groupe de prisonnier ennuyé assis dans leur cellule, y compri Little Tony.
Heath entre regarde à travers les barraux l'horloge de la cellule : "Ce n'est pas juste. Rendez-les plus brutaux comme ils étaient quand ils sont entré."
Il va frapper le bouton d'ouverture des cellules. Les prisonniers sortent lentement de leur cellules. Heat dévérouille la porte du bloc cellulaire et entre.
Heath regarde les prisonniers : Rappelez-vous ceci, frères, Un acte de bonté est aussi virile que...
Les prisonniers sautent sur lui et le battent sur le sol.
Plan sur Kate courant dans le commissariat en plein chaos.
Kate : Papa ? Papa !
Plan sur un accident de voiture.
Le policier : Vous voulez parler de coup de fouet? Je vais vous en parler. J'ai un émotionnel coup de fouet d'avoir à traiter avec des personnes comme vous jour et nuit. Si il y a une victime ici, c'est moi. J'ai aliéné mes amis, ma famill, mes propres enfants ont peur de moi. Je ne peux même pas faire l'amour à ma femme.
Plan sur Angel courant dans une rue passant à côté d'un policier, d'une vieille femme sur un banc et d'un jeune gars.
Policier : J'entends ce que vous dites, mais je ne pense pas du tout que vous écoutiez les sentiments de votre agresseur.
Plan sur Angel courant vers l'entrée du commissariat.
Cordy : Eh !
Angel : Qu'est-ce que tous les deux vous faites...
Doyle : C'est Kate, nous l'avons suivie ici.
Cordy : Elle est totalement perdue. Elle a l'air d'être prête à faire des dommages.
Doyle : Et ce n'est pas seulement elle par les regards sur les choses..
Cordy : Cet endroit devient fou ! Ce n'est pas bon.
Angel leur sourit : Ok, je pense que quelqu'un a besoin d'un calin (Ils les étreints).
Doyle et Cordy : Hein ?
Angel leur fait un calin.
Cordy : Eh !! Oh !!
Cordy et Doyle repousse Angel.
Cordy : He ! Quel est ton problème ?
Doyle : Je pense qu'il a seulement trouvé M. Sensible.
Angel met une main sur son coeur.
Angel : C'était ici tout ce temps, ça attendait juste de sortir. Ca alors, que font donc tout ces gens, hein ?
Plan sur Kate au téléphone.
Kate : S'il te plait papa, si tu es là décroche. On a besoin de parler.
Plan sur l'extérieur.
Cordy à Angel : Il t'a jeté un sort ! Il t'a jeté un sort !
Doyle : Elle a raison.
Angel sourit et acquiesce : Le baton de parole est ensorcelé bien sur.
Cordy à Doyle : Il y a un baton qui parle ?
Doyle : Ok, parle-nous de ce baton.
Angel : Il l'utilise comme un talisman. Quiconque touche le baton est infecté. Il me l'a avoué après ! (Regarde loin d'eux et soupire ) l'avoir traité avec violence.
Cordy à Doyle : Quel est son trip ?
Angel : Wolfram & Hart, la firme, a engagé cet homme pour neutraliser la police, ainsi Little Tony pourrait s'échapper. Ca passera.
Cordy : Bientôt ?
Doyle : Ainsi il n'y a jamais eu de contrat sur le détective Lockley ?
Angel : Non, Little Tony organisait tout pour la tuer lui-mêne. Pauvre gars.
Cordy : Pauvre gars ?
Angel : Et bien il a eu des problèmes .
Doyle : Angel, tu dois passer par dessus ça !
Cordy : Juste maintenant. Il est temps pour toi de devenir vampire, grr ! Kate a besoin de toi.
Angel secoue la tête : Je ne veux pas. Vous partez quand je deviens vampire. J'ai l'impression que vous me jugez.
Cordy : On ne te juge pas, (à Doyle) le fait-on ? (A Angel) laisse lui une chance.
Angel secoue la tête : L'intimité est trop important pour moi maintenant.
Doyle : Kate est là-dedans.
Cordy : Avec un assassin.
Doyle marche vers la porte. C'est verrouillé.
Un policier à travers la porte : Nous sommes fermés.
Doyle : Vous êtes la police ! Vous ne pouvez pas fermer.
Policier : Pourquoi pas ? On en a pas fait assez ? C'est toujours 'trouvez ceci, sauvez cela avec vous. Et bien, voyons comment vous aimez ça !
Le policier démolit l'aveugle et l'arnaque.
Plan sur un policier parlant à un prisonnier noir.
Policier : Je dois m'excuser pour vous avoir traité si pauvrement , aussi j'ai écris un poème la dessus. (Il lit) J'ai vu une feuille et j'ai pleuré...
Harlan se dirige vers Kate qui est appuyée sur son bureau.
Policier : Ca fait mal, n'est-ce pas ? Quand personne ne vous écoute ? Quand ils vous rejettent !
Kate le regarde : Vous savez ?
Harlan : Je sais. Depuis deux ans que je vous le dis avec tout ce que j'ai : aime-moi, Kate. Ait besoin de moi comme j'ai besoin de toi. Mais tu n'as jamais remarqué, jamais retourné mon désir. Tu t'asseyes juste à ce bureau, à côté du mien... sentant votre odeur... me tentant.
Un coup de feu résonne.
Plan sur Little Tony tirant un coup en l'air.
Tony : Les gars, vous travaillez pour Little Tony maintenant. Vous trouverez que je suis sévère (il tire sur un policier) mais fair play. Maintenant, venez, allons tuez une femme-flic.
Plan sur l'extérieur :
Cordy : On a besoin d'une pierre.
Angel : Je ne peux pas dire que je suis à l'aise avec tout ça.
Cordy : N'argumente pas, c'est le seul chemin pour entrer.
Doyle : Ici, celle-ci devrait faire l'affaire.
La pierre frappe le mur.
Cordy : Vise la fenêtre !
Doyle : C'est ce que je faisais.
Cordy : Donne-moi ça !
La pierre vole à travers la fenêtre.
Doyle : Joli coup !
Cordy : Angel, maintenant c'est ton tour, allez !
Angel écarte les barraux.
Plan sur Tony et ses hommes marchant dans le corridor portant des armes. Plan sur Cordy, Doyle et Angel grimpant à travers la fenêtre.
Cordy : Allez ! Allons-y !
Angel : Wow. C'est du vandalisme.
Doyle : Ah, on s'occupera de ça plus tard.
Angel : On devrait laisser un mot.
Cordy : Voudrais-tu venir ?
Angel : Quel est le mot magique ?
Cordy : Urgh !
Angel : Non, je ne pense pas que 'urgh' soit le mot magique, si quelqu'un veut appeler ça un mot. Et même si c'était le cas, ce n'est certainement pas un mot magique.
Cordy : On a pas le temps pour ça !
Angel : Il y a toujours du temps pour considérer les autres, Cordelia.
Cordy exaspérée : Oh, s'il te plait !
Angel : Tu vois ? C'était pas si dur maintenant, non ?
Plan sur Tony entrant dans la partie principale du commissariat.
Tony à Kate : Tu pensais en avoir fini avec moi, hein ? Tu pensais que tu était plus forte que Little Tony. Et bien, personne ne me bat bébé. Pas même une chienne en pierre comme toi.
Kate se relève : Je ne suis pas une chienne ! Je suis juste protégée.
Tony : Personne ne te protège maintenant.
Angel : Hé ! (Il entre lentenant avec Cordy et Doyle derrière lui) Je ressens quelques énérgie négative sérieuse dans cette pièce.
Cordy : Vas-y. Prends soint de lui !
Tony avec un sourire à Angel : Oh, je voulais te revoir.
Kate : Je suis sûre qu'il a dit la même chose, mais ce pistolet te rend vraiment hostile.
Angel : Ca et le langage du corps. C'est si fermé.
Kate : Ouais.
Doyle : Angel, combat, ne parle pas.
Cordy : Nous sommes morts.
Angel : Maintenant, pourquoi est-ce qu'on ne s'assiérait pas tous et applanissont ça ?
Tony avec un sourire : Il semble que cet entraînement de sensibilité que j'ai payé à pris, heu, Nancy Boy ?
Angel attrappe la chaise et la balance sur le visage de Little Tony,mettant le gars à côté de lui KO. Kate tire sur le troisième homme avec son pistolet.
Kate : Comment penses-tu que cela m'a fait sentir ?
Cordy marche sur le deuxième homme alors qu'il essaie de se relever tout seul et Doyle lui donne un coup de pied dans le visage et ramasse l'arme.
Angel : Ok, maintenant je me sens incompris.
Angel commence de battre Tony.
Angel : Tu sais, Anthony tu pourrais être un arc-en-ciel et non une (il le frappe sur la tête et le laisse tomber) un arc de douleur. (Kate le regarde) Je veux dire que c'est vraiment tou jusqu'à toi.
Kate secoue la tête : Toi.
Angel : Non, toi.
Kate lui ouvre les bras : Viens ici.
Ils s'embrassent.
Cordy : Ugh, quelqu'un veut vomir ?
Kate et Angel se séparent et regarde Tony étendu sur le sol.
Angel avec un soupir : C'est si triste, n'est-ce pas ?
Kate secoue la tête : Quelques personnes ressentent le besoin de vivre dans les problèmes.
Plan sur le cabinet Wolfram & Hart. Mercer écoute Tony au téléphone.
Tony : Pourquoi est-ce que je vous paie ? Où êtes-vous ? Je veux ma limousine ici maintenant.
Mercer : Je crains que ce ne soit pas possible M. Papazian.
Tony : Quoi ? De quoi parlez-vous ?
Mercer : Vous avez abattu un commissariat et essayé de tué un officier de police devant témoins. Nous ne pouvons risquer ce genre d'exposition.
Tony : Vous êtes le seul qui ait permis ça !
Mercer : Nous avons ouvert une porte pour vous. C'était à vous de la passer, pas de détruire votre sorite. Les associés seniors sentent que vous êtes devenu un poids. Nous ne pouvons pas perdre notre énergie pour vous quand il y a tant d'issue pressantes sous la main.
Tony : Des issues pressantes ? (Angel regarde une cassette d'Angel contre Tony dans le commissariat) des issues pressantes ?
Mercer : Notre relation est terminée avec ce dernier appel.
Tony raccroche le téléphone violemment.
Plan sur le commissariat le jour suivant.
Policier : Bonjour.
Autre policier : Oui, juste.
Angel à Kate : Comment tu te sens ?
Kate : Assez patraque, et toi ?
Angel : Je vais bien.
Kate : Les affaires internes enquêtent au Blue Bar. Ils pensent que quelqu'un à empoisonnée le ponch. C'était comme si tout le monde était devenu un peu fou. Je sais ce que j'ai fait avec mon père.
Angel : Et bien, peut-être que ça a aidé.
Kate : Est-ce que... je t'ai dit quelque chose ?
Angel : J'étais un peu fou moi-même.
Kate : Bien. Je devrais retourner travailler.
Angel : Oui, moi aussi.
Il part lentement.
Kate reste là un moment, puis elle voit son père venir vers elle.
Kate : Salut.
Lockley : Katie (Angel les entends et se tourne dans l'encadrure de la porte pour regarder et écouter) J'ai eu ton message sur mon répondeur.
Kate : Ouais, c'étais une sorte de nuit bizarre. Je...
Lockley : Katie, ne dit rien. Tu t'es rendue idiote toute seule, tu m'as embarassé en face des gars. Tu ne reviendras jamais la-dessus... Pour autant que je sois concerné, ce n'est jamais arrivé.
Kate regarde son père se tourner et sortir. Angel regarde Kate alors qu'elle s'assied lentement à son bureau, puis il soupire, se tourne et part.