Landok sort du portail et lui et Angel se battent.
Landok : Landok, c'est toi ?
Landok : Landokmar du Clan de la Mort.
Cordy : Est-ce que ça veut que vous êtes tous les deux...
Lorne : Cousins, ouais.
Réalisateur : Montre la scissure. Dis la ligne. D'accord ? Où est-ce que vous voulez perdre plus de votre temps, princesse ?
Cordy : Je voulais juste jouer, c'est tout.
Gunn voyant que George est mort : Vous auriez du m'attendre !
Rondell : Ca fait des mois qu'on t'attend, frère.
Cordy au bibliothécaire : On recherche quelqu'un qui travaille ici je crois.
Bibliothécaire : Fred a disparue il y a cinq ans. Ils ne l'ont jamais retrouvé.
Cordy sort un livre de l'étagère : C'est là.
Des images floues de sa vision de Fred aspiré dans le portail.
Wesley : Cordy ? Cordy ?
Angel : Cordy !
Cordy se réveille dans les bois de Pylea.
Wesley regarde autour du club pour Cordy, Angel cherche derrière le rideau de la scène.
Wesley : Cordy ?
Angel : Cordy ?
Wesley : Oh, non. Oh, mon dieu, non. Comment est-ce que j'ai pu laisser arriver ça ?
Angel : Non. Elle est quelque part ici. Elle est juste cachée. Cordy ! Cordy !
Wesley : Angel.
Angel : Quoi ?
Wesley : Elle est partie. Cordy a été aspirée dans le portail. Elle est dans la dimension du Host maintenant.
Angel à Lorne : Où est Cordélia ?
Cordy se lève et s'époussette.
Cordy : Angel ? Wesley ! Mr Cousin Gars-Vert ? (crit) Au secours !
Met une main sur sa bouche.
Cordy : C'est vrai. Très bien, Cor. Crie vraiment fort pour que les créatures de l'enfer viennent à toi.
Prend une grande inspiration puis claque ses talons ensemble trois fois. Rien ne se passe.
Cordy : Ca vaux le coup. Alors. Doublure d'argent. C'est un endroit assez joli..quand vous le regardez : de beaux bois, ensoleillés et doux...
Repère une créature sur un rocher qui la regarde et grogne.
Cordy : Géante créature de l'enfer poilue me regardant. C'est....c'est incroyablement effrayant. Bonne créature de l'enfer. Tu es une créature de l'enfer paresseuse, n'est pas ? Ouais. Tu va rester bien là (tourne et commence à courir) pendant que je cours pour ma vie.
La créature saute de son perchoir du rocher et la traque.
Intro.
Le Host est derrière le bar se versant lui-même un verre.
Lorne : Je ne sais pas où elle est. Je veux dire, m..mon monde, bien sûr, mais qui sait où elle est...oh non, parce qu'il y a le...et le (fait un signe vers sa tête) avec la (bouge encore) oh (pose le verre d'un coup) Mon dieu je souhaite que je puisse devenir soûl.
Wesley : Ok, approchons ça logiquement.
Angel : On s'en fout de la logique. On va ramener Cordy.
Angel rapporte le livre.
Angel : On va ouvrir un autre portail et on va aller après elle.
Wesley : Angel, je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
Angel : Wesley, je ne pense pas m'en soucier.
Wesley : Mais nous somme complètement non préparé. On devrait retourner à l'hôtel, faire quelque recherches.
Le Host descend doucement en dessous du niveau du bar, ouvrant et fermant sa bouche en ne disant rien.
Angel : Je ne veux pas faire de recherches, d'accord ? Je veux sauter dans le gros trou tourbillonnant et sauver Cordélia !
Angel commence à lire le livre, mais Wesley l'attrape par le bras et le pousse pour lui faire face.
Wesley : On ne peux même pas être capable de rentrer !
Angel doucement : C'est Cordy.
Après un moment Wesley hoche la tête et se recule.
Angel : Krv Drpglr pwlz...
La tête de Lorne est juste penché sur le bar : Oh merde.
Angel : ...chkwrt strplmt dwghzn prqlrzn lffrmtplzt.
Le Host se baisse complètement alors que la musique s'arrête dans un grand crescendo...et rien du tout ne se passe.
Angel : Peut-être que je dois me tenir là où le portail s'ouvre.
Le Host jette un coup d'oeil sur le bar puis disparaît de nouveau alors qu'Angel va vers la scène et commence.
Angel : Krv Drpglr pwlz chkwrt strplmt dwghzn prqlrzn lffrmtplzt !
Wesley s'assoie doucement alors que de nouveau rien ne se passe.
Angel : Quoi, est-ce qu'il...y a plus de batteries ? (tourne pour regarde le Host, encore une fois jetant un coup d'oeil sur le bar) Est-ce que ce truc n'a plus de batteries ?!?
Lorne : Je ne sais pas. Je ne sais pas commence ça marche.
Angel : Punaise !
Angel jette le livre et se pose pour s'asseoir sur le bord de la scène, prendre quelque grandes inspirations.
Angel : Je l'a ramènerais.
Wesley : Ca ne va sûrement pas être un grand trou tourbillonnant sautant sans un grand trou tournbillonant.
Lorne : Ouais. C'est vrai.
Wesley : Alors je suggère qu'on retourne à l'hôtel, trouver une façon d'en faire un.
Lorne : Tu sais, peut-être que c'est mieux que tu ne puisses pas y rentrer.
Wes et Angel regardent Lorne.
Angel : Quoi ?
Lorne : Je dis juste, mon monde ? Tu...tu ne vas pas sauter dans mon monde en ressemblant à ça.
Angel se lève : A quoi ?
Lorne : A un humain.
Cordy s'éloigne de la créature. La créature l'attrape et la met par terre et la roule sur son dos.
Cordy : Non, non, attendez ! Je ne suis pas supposée mourir comme ça.
La créature commence à lécher son visage.
Cordy : Oh, dieu merci...et aussi...eww !
Un vieil homme démon accoure.
ODM : Viens ici mon garçon. Seekul !
Avec un couinement amusant la créature s'éloigne de Cordy pour regarder ODM, qui ouvre ses bras.
ODM : Ha, ha, viens là. Viens. Ha, ha.
La créature bondit sur le vieil homme démon.
Cordy se relève doucement pendant que l'homme apprivoise sa créature.
ODM : Bon garçon, Seekul. Oui. Oui.
Cordy : Vraiment une mignonne..chose, que vous avez là. Personnellement j'ai toujours était une vraie...amoureuse des choses.
ODM : Bon garçon. Bon garçon. Tu m'as trouvé une vache.
Cordy : Hé. Qui est une vache, monsieur !
L'homme démon sort un morceau de cuir avec une fin chargée, la fait claquer quelques temps puis la jette à Cordy, ce qui lui entoure fortement le haut des bras de son corps.
Cordy : Hum. Oh..oh.
ODM : Une jolie vieille vache. Bonne vache. Elle va rapporter un bon prix au marché.
Cordy : Ok. Mais vous êtes comme les hindous, hein ? Vous ne mangez pas les vaches, hein ?
ODM : Une sorte de vache bavarde, hein, Seekul ? Ca va faire baisser le prix.
Il sort un morceau de tissu.
Cordy : Attendez ! Attendez, attendez, attendez !
Utilise le tissu pour bâilloner Cordy.
Le Host est assis dans le hall de l'Hypérion, Angel est penché sur le comptoir. Wesley entre portant un tas de livres.
Angel : Comment à parler.
Lorne : De ma dimension ? Ok, bien sûr. Voyons voir. J'étais là-bas. Je suis venu ici. J'aime ici. Je ne veux pas aller là-bas. Alors, c'est tout ? Parce que je dois nettoyer le club.
Le Host essaye de partir.
Angel : Assis.
Le Host se pose sur le banc.
Angel : Commençons simplement. Comment est-ce que tu es venu de ton monde jusqu'ici ?
Lorne : A travers un portail.
Angel : Et comment est-ce que tu as ouvert ce portail ?
Lorne : Je ne l'ai pas fait.
Angel : Tu ne m'aides pas là.
Lorne : Tu vois, ce n'est pas un secret que je haît Pylea.
Angel : Pylea.
Lorne : Ma dimension natale. Avant quand je vivais là-bas j'aurais donné n'importe quoi pour en sortir. N'importe quoi ! Alors un jour, il y a cinq ans, je suis dans les bois quand soudainement juste devant moi, sorti de nulle part, un portail apparaît. Ce...c'était comme si mes prières avaient finalement été entendues.
Angel : Tu savais que c'était un portail.
Lorne : Et bien, non. Au début je ne savais pas ce que c'étais que ce truc. Mais quand j'ai regardé de plus près, la forêt est devenue toute bandée, gros flash de lumière et whoosh ! à travers le portail et bang (claque des doigts) Je suis dans une autre dimension. Cette dimension....que j'aime et que j'adore et que je ne voudrais jamais, jamais, jamais quitter.
Angel : Mais alors qui (claque ses doigts) a ouvert le portail ?
Lorne tient sa tête comme s'il était une marionnette.
Lorne : Cheval empoisonné. (ouvre les mains de la marionnette) Bouche. (regarde de l'autre côté d'un ton plein de sous-entendus)
Angel va s'asseoir.
Angel : D'accord. Alors où est-ce que tu as finis dans cette dimension ?
Lorne : Dans un immeuble abandonné, différent des immeubles que j'avais vu. Et c'est quand j'ai réalisé quand j'avais été délivré de l'enfer. J'ai crée le Caritas dans cet endroit.
Angel : Alors tu dis que Pylea est une dimension de l'enfer, que Cordy est aspirée en enfer.
Lorne : Oh, pas littéralement...mais ça s'en rapproche.
Angel : Je trouve que c'est dur à croire.
Host : Ah bon ? Et bien, essaye ça : il n'ont pas de musique là-bas. Ca n'existe pas. Tu sais ce que c'est ? Pas de berceuses, pas de chansons d'amour. Toute ma vie je pensais je j'étais fou. Que j'avais des fantômes dans ma tête ou quelque chose. Juste parce que je pouvais écouter de la musique. Bien sûr je ne savais pas que c'était de la musique. Tout ce que je savais c'est que c'est quelque chose de magnifique et...douloureux...et juste. Et j'étais le seul qui pouvait l'entendre. Puis j'ai atterrit ici et j'ai entendu Aretha pour la première fois....et bien. (fait un petit rire, puis redevient sérieux) Ne te fais pas marcher. Cordy est dans un endroit vraiment mauvais.
Wesley : C'est froid !
Angel : Quoi ? Met un pull.
Wesley : Non. Non, non, non. Le point chaud est froid. (Angel et le Host le regardent) Certaines régions géographiques abondent d'énergie psychique. Ces régions fonctionnent comme....des points chauds dimensionnels, des portes naturelles entre les mondes. Je pense que le Caritas est aussi un point. Mais l'attrape est...
Angel : Oh mon dieu, on doit en avoir un.
Wesley : Créer un portail réduit le point chaud de son énergie psychique.
Angel : Et depuis qu'on en a déjà ouvert un....
Wesley : ...le point chaud est froid. C'est pour ça qu'on ne peut pas ouvrir un second portail.
Angel : Tu vois, j'avais raison. C'était les batteries.
Wesley : Ca s'applique aussi à celui de la bibliothèque.
Lorne : Oh, pourquoi ne pas attendre alors que le portail se recharge ?
Angel se lève.
Angel : Parce qu'on a déjà perdu assez de temps. On doit trouver un autre point chaud et vite.
Wesley : Ce n'est pas notre seul problème.
Angel se baisse de nouveau.
Angel : Bien sûr que non.
Wesley : Quand des entités séparées entre dans un portail dimensionnel ils tendent à...et bien...à se séparer. Supposant qu'on trouve un autre point chaud, et qu'on parvienne à ouvrir un autre portail, si on saute juste dedans, on pourrait littéralement finir aux extrémités du monde.
Lorne : Ca veut dire que Landok et Cordy...
Wesley : ...ne sont pas arrivés ensemble.
Angel : Elle est vraiment seule.
Gunn : Hé.
Wesley se tourne vers la porte.
Wesley : Gunn ! Où étais-tu ? On a été....on a parlé pendant des heures.
Gunn : Désolé.
Wesley : Non, ça va. C'est bon. Euh (fait un geste vers Angel) tu veux le mettre à jour ?
Angel : Ouais. On a deux problèmes. Un : on doit trouver un point chaud dimensionnel, et deux : on doit trouver comment on peut tous aller dans le portail sans....
Gunn : Je n'y vais pas.
Tout le monde s'arrête pour regarder Gunn.
Angel après un long moment : Quoi ?
Gunn : Hier soir j'ai perdu quelqu'un de mon équipe. J'aurais du être là, mais...Je suis désolé mais Wesley a dit que le voyage était un aller-simple et...et je ne peux pas ! Je sais que ça me fait...(secoue sa tête) Je ne sais pas ce que ça me fait. Mais j'ai pensé que je devais te le dire face à face. (Angel reste silencieux) Je te souhaite bonne chance. Je t'en prie. Trouve là.
Gunn et Angel se regardent un moment puis Gunn se tourne et part.
Lorne : Hmm, dure décision. Pauvre gamin. Mais je suis d'accord avec lui.
Angel : Ouais. Moi aussi, je crois.
Lorne : Non, je veux dire la partie de ne pas partir. Tu sais que je n'y vais pas, hein ?
Angel : Quoi ? Mais c'est ton monde. On a besoin d'un guide.
Lorne : Tu te souviens quand j'ai dit que j'aimais cette dimension et que jamais, jamais, jamais je ne partirai ? Et bien, qu'est-ce que tu n'as pas compris avec jamais ?
Angel : D'abord Gunn et maintenant...Je...je ne peux pas le croire !
Lorne : Je suis désolé les gars, mais, je vais vous dire, j'ai une idée sur comment trouver votre point chaud. En un clin d'oeil.
Le Host part alors qu'Angel se penche sur le comptoir de l'autre côté de Wesley.
Wesley : Gunn doit avoir...des responsabilités...des liens...des gens pour s'en soucier.
Angel : Comme moi. Maintenant...toi et moi...on doit trouver...comment la sauver.
Wesley repart lire ses livres.
Cordy est portée dans un bizarre village médiéval pieds et poings liés sur une bûche, portée entre l'homme démon. Ils installent la bûche sur quelques attaches et partent. Le vieil homme démon vient accompagné d'une vieille femme démon.
ODM : C'est une bonne vache. Forte. Peut-être un peu bavarde, mais tu lui faire sortir ça très vite.
Vakma : Maigrichonne. Moche, aussi. (Cordy laisse sortir des protestations étouffées) Un cochon.
ODM : Deux cochons.
Vakma : Pour cette vieille vache ? Elle va sûrement coasser avant que je ne l'a ramène chez moi.
ODM : Un cochon et une pinte alors. Liqueur de flip.
Vakma regarde Cordy puis sort un collier brillant en argent du sac qu'elle porte.
Vakma : Bien. Met lui le collier.
Le vieil homme démon prend le collier et le met autour du cou de Cordy.
Vakma : Depuis que la dernière vache est morte on nettoie les étables nous-mêmes. Tu devrais voir mes urticaires.
Le vieil homme démon rogne Cordy et l'atteint pour délier son baîllon, mais Cordy éloigne ses mains en marmonnant 'je l'ai, je l'ai' à travers le baîllon et l'enlève elle-même.
Cordy : Ok. Ok. Vous voyez. Tout d'abord...je suis un être humain...pas une vache. Vous ne pouvez pas juste troquer un être humain ! Deuxièmement : un cochon ? Un misérable cochon ? Troisièmement il y a eu un grand malentendu. Vous voyez, je suis une américaine et j'ai des droits. Et maintenant j'aimerai retourner à...(Vakma pointe une petit chose carrée en argent sur Cordy et appuie dessus et Cordy glapie et atteint son collier) Ca fait mal !
Vakma : Les vaches ne doivent pas parler elle doivent faire leur travail si elles savent ce qui est bon pour elles. (au vieil homme démon) Tu peux venir demain et prendre tes affaires. (A Cordy) Viens vache.
Vakma se tourne et part, mais Cordy ne bouge pas.
Cordy : Je vous pensez que je vais vous suivre...
Vakma pointe la chose en argent sur son épaule et appuie dessus et Cordy glapie.
Cordy : Ow ! Vous avez un autre truc...ow ! Je viens.
Cordy commence à courir après la vieille femme démon, ne voyant pas la fille humaine, son visage sale à moitié caché par des longs cheveux noirs, la regardant dans l'ombre.
Pause.
Gunn est assis dans sa camionnette avec le moteur à l'arrêt, regardant droit devant. Il avale finalement et démarre la camionnette.
Grand bureau divisé en beaucoup de petites cabines avec quelques murs portables. Dans une de ces cabines on voit une fille aux cheveux noirs parlant au téléphone.
Aggie : Tu ne sais pas où tu vas. Tu es perdu. A des kilomètres de rien qui te motive. J'ai un profond sens de désir...de séparation.
Le Host, tenant un magazine pour obscurcir partiellement son visage et portant des lunettes de soleil noires et une casquette de base-ball vient dans la cabine.
Lorne : C'est un mauvais moment ?
Aggie : C'est comme si tu te sentais retranché.
Avec ça elle pousse un bouton du téléphone et saute pour serrer le Host.
Aggie : Lorne !
Lorne : Hé, Aggie, comment ça va ?
Aggie : Ah, tu connais les affaires. Vague prédictions, longues pauses, quelque chose pour faire rouler les nombres.
Lorne : Ouais.
Aggie : Tu te caches de ma foule ?
Lorne : Ne me fais pas commencer. Je sais que c'est le chic d'Hollywood d'aller incognito et tout, mais ce chapeau frotte vraiment contre mes cornes !
Aggie rit : Alors, qu'est-ce que tu ramènes au bureau ?
Lorne : Rien que tu ne connaisses déjà.
Aggie : Oh, je sais. Je veux juste voit quelle genre d'épine tu vas mettre dessus.
Lorne : Des portails dimensionnels. Des points chauds psychiques. J'ai besoin d'en trouver un.
Aggie : Pourquoi ?
Lorne : Ah, quelques amis à moi vont faire un petit voyage.
Aggie : Hum, je vois. Et la grosse lumière d'alarme qui flashe dans ton aura veux dire quoi ?
Lorne : Mange chez Joe. Alors, est-ce que tu peux m'aider à épingler un point chaud ?
Aggie : Non.
Lorne se dégonfle et s'assoie.
Lorne : Je dois l'admettre, je ne l'avais pas vu venir.
Aggie : Je reçoit toutes ces laides vibrations en conflit venant de toi, Lorne. Et elles pointent toutes sur ce portail.
Lorne : E...est-tu sûre que tu ne vois pas juste le chili que j'avais à déjeuner hier parce que, whohoo, tu veux parler de conflits ! (elle le regarde juste alors qu'il part de sa blague) Ils ont besoin du point chaud parce qu'ils vont à Pylea, ma dimension natale.
Aggie : Et tu ne vas pas avec eux ?
Lorne : Hé, je devrais plutôt avoir de l'acide chlorhydrique facial. Je devrais plutôt inviter un nid de guêpes à nicher dans ma gorge. Je devrais plutôt passer à travers une école de chats ! Tu vois où je vais avec ça ?
Aggie : Pas à Pylea.
Lorne : Exactamondo.
Aggie : Et bien, c'est trop bête alors. Maintenant ils n'iront jamais sauver la fille.
Lorne : Viens encore ?
Aggie soupire : Je peux trouver ton point chaud, Lorne, mais à la seule condition que tu ailles avec eux. (Lorne secoue la tête) C'est la seule façon pour que tu puisse résoudre toutes les issues qui troublent ton aura, je peux le voir ! Et soit honnête. Au fond tu sais déjà que tu dois faire ce dernier voyage chez toi.
Lorne : C'est le 'dernier' qui m'effraie.
Aggie : Et bien, parfois le voyage est fait simplement parce que....il doit être fait. Est-ce que ce flou est assez pour toi ?
Lorne : C'est à ça que que je ressemble ? Eeesh. Ne t'étonnes pas des plaintes des gens.
Angel marche dans le hall de l'Hypérion.
Wesley : Je crois que je devrais essayer une formule contraignante de quelque sorte. Quelque chose pour nous fusionner ensemble quand on entrera dans le portail.
Angel : Bien. Faisons ça. Faisons....
Wesley : Toutefois, on pourrait émerger de l'autre côté comme un jumeau Siamese monstrueux et hybridé.
Angel : Tu continues de chercher ?
Wesley : Tu sais que c'est la troisième référence que j'ai vu de fer ou de métal. Ca pourrait être un indice comme comment nous éviter de nous éparpiller.
Angel : Quoi, on se menotte ensemble ? Qui est-ce qu'on connaît qui ait des menottes ?
Wesley : Et bien, je..ne veux pas savoir. Et de toute façon, je ne crois pas des menottes vont marcher.
Angel : Qu'est-ce qui va marcher, Wesley ? Ca va faire douze heures depuis qu'elle a été aspirée dans ce portail. Ce n'est pas la peine de dire ce qui a pu se passer maintenant. Qu'est-ce que vous voulez ?
On voit que deux hommes en costumes d'affaires portant des porte-documents viennent d'entrer.
Park : Angel. Bonjour.
Angel : Des avocats. Est-ce que vous ne dormez pas dans la journée ?
Park : Je suis Gavin Park. Voici mon associé, Mr. Hayes. Nous représentons Wolfram et...
Angel : Je m'ennuie déjà.
Park : Nous venons pour estimer l'hôtel.
Angel : Quoi ?
Park : Corrigez moi si je me trompe, mais votre bail expire dans six mois et Wolfram et Hart est intéressé pour acheter cet immeuble.
Angel : Vous allez me faire marcher. Vous les gars....vous ne pouvez me faire devenir mauvais, alors maintenant vous voulez m'expulser ? Vous savez, ils essayent de me harceler pour mourir.
Park : Nous aimerions faire un tour dans les environs si vous ne vous rappelez pas.
Angel en visage de vampire : Vous croyez que je me rappelle ?
Hayes ne peut pas aider mais regarde un peu, mais Park ne montre pas de réaction.
Park : Vraiment bien. Nous allons noter les vrais biens de notre compagnie de votre non - conformité. Ils devraient vous envoyer une note d'obligation. Après ça si vous refusez encore de coopérer, et bien, ...Je suis sûr que quelque part dans votre bail il doit y avoir un ou deux trous pour être...exploités.
Park et Hayes se tournent pour partir et Angel morphe en visage humain, et roule sa tête.
Angel à Wesley : Comment est-ce qu'on peut sortir rapidement de ce monde ?
Wesley : Hm.
Cordy, portant maintenant des vêtements d'indigène en loques, est dans une étable pelletant du fumier et se parlant à elle-même.
Cordy : Je voudrais rentrer chez moi. Je voudrais être dans mon lit. Je voudrais...de la nourriture Thai et lire la dernière fin de Marie Claire. Je voudrais être en train de faire autre chose que pelleter de la crotte de cheval démon !
Elle glapit que son collier l'électrocute.
Cordy : Cette femme a des oreilles de chauve-souris ! (attrape son collier) Il doit y avoir un moyen d'enlever ce truc.
Voix : Ne fais pas ça !
Cordy bondit et enlève ses mains du collier, puis regarde vers la source de la voix.
Cordy : Qui est là ? (va dans le box vide derrière elle) Qu'est-ce que tu veux ?
Voix : J'ai oublié. Ce n'est pas important. Mais...mais si tu enlèves le collier, des mauvaises choses vont arriver à ta tête.
Cordy repère un trou dans le mur de bois du box vide et la fille en loques de la place jette un coup d'oeil à travers.
Fred : Comme....si elle allait imploser. Alors, n'enlève pas le collier, ok ? Parce que....parce que je ne peux pas te parler si tu n'as pas de tête, ok ?
Cordy : Ok. E..est-tu une humaine ?
Fred : Continue...continue de pelleter ! Va pelleter.
Fred regarde furtivement aux alentours alors que Cordy prend docilement sa pelle.
Fred : D'où est-ce que tu viens ?
Cordy : Los Angeles. Depuis combien de temps tu es ici ?
Fred : Je suis née ici. Je...je veux dire, pas vraiment. J'ai j...juste...quelques...quelques fois je pense que je le suis. Je veux dire, je ne crois pas que c'était pas pensée j'ai oublié certains mots. Comment tu es venue ici ?
Cordy : Oublie. Pourquoi est-ce que tu ne me di pas où on est ici en premier ?
Fred : Pylea. Continue de pelleter ! Mince ! (Cordy attrape de nouveau la pelle et prétend pelleter son oeil toujours fermé sur le trou) Une autre dimension. Tu es perdue. Je peux le dire. Beaucoup d'entre nous sont perdus ici. Mais...mais c'est vrai. Je ne suis pas folle. Et bien, folle, mais je ne me trompe pas.
Cordy : Alors, comment est-ce que je sors d'ici ?
Fred laisse sortir quelque chose entre un rire et un sanglot.
Fred : Oh, j'ai oublié. De rire. (regarde aux alentours) Tu ne peux pas. Ils t'utilisent comme une esclave. Puis ton corps donne...zip ! Parti.
Cordy : Et bien, ça ne m'arrivera pas, ok ? J'ai des amis à L.A. Ils vont venir me sauver. Dans quelques temps.
Fred : J'ai essayé de revenir. Je n'ai pas la masse, ce qui est bizarre parce que...comment est-ce que tu es venue ici ?
Cordy : Je suis vraiment sûre que j'ai, ah, j'étais été aspiré dans un portail.
Fred : Un...un portail ?
Cordy : Ouais.
Fred : Où il était ?
Avant que Cordy puisse répondre on entend un voix d'homme hurler : Fugitive !
Fred : Oh non !
Fred se tourne pour courir. Deux hommes démons portant l'habit terne traditionnel de Pylea lui courent après, pendant qu'un troisième, portant ce qui ressemble à un uniforme reste là au milieu du couloir de l'étable.
Homme : Elle est là. Attrapez là ! Attrapez là !
Cordy : Qu'est-ce qui se passe ?
Les deux hommes traînent Fred qui lutte chez le gars en uniforme.
Cordy : Qu'est-ce qui se passe ?
Un autre vêtu terne attrape Cordy et la pousse dans le couloir.
Narwek : Sur ton visage, vache. Par terre.
Cordy : Non ! Non !
Le gars la pousse face au sol.
Fred : Lâchez moi ! Arrêtez ! Arrêtez !
Le gendarme, qui est de la même race que le Host attrape le collier de Fred.
Narwek : Un collier mutilé. Maligne petite vache. Tu aurais du rester dans les bois !
Bouge et les deux hommes la tenant la jette en dehors de l'étable.
Fred : Partez ! Partez !
Cordy : Attendez !
Narwek : Face à terre !
Le gars se tenant sur Cordy lui pousse dans la tête par terre dans la merde.
Après l'avoir regardé un moment pour être sûr qu'elle reste de cette façon le gendarme et l'autre gars suivent les autres en dehors de l'étable.
Angel est assis au bureau de Wesley, le répondeur posé à la table à côté de lui.
Angel : Alors dès que Wesley aura résolu notre problème d'éparpillement, nous allons partir. Je ne sais pas si on reviendra. Il est onze heure seize. Cordy est partie depuis presque vingt-cinq heures maintenant. Je crois que j'ai tout dit. Oh. L'hypothèque pour l'hôtel...est sous le nom de la compagnie. Le bail est levé dans six mois, au moins c'est ce qu'ils m'ont dit, alors....je pense que ça l'est. Prend soin de toi.
Angel se penche et pour le bouton pour éteindre le téléphone.
Le Host apparaît à la porte du bureau de Wesley.
Lorne : Comment tu tiens ?
Angel : Oh je voudrais aller mal. J'attend juste Wes pour avoir le moment d'Eureka.
Wes hors écran : Eureka !
Angel se lève : Oh, mince. Dieu merci.
Lorne : Tu veux dire qu'il a vraiment dit Eureka ?
Wesley vient accourir dans le bureau.
Wesley : Je sais comment nous faire aller dans le portail !
Angel : Bien. Allons-y.
Angel et Wes sortent du bureau avec le Host qui les suit plus doucement.
Cordy est traînée par Vakma dans le marché du village, chargée de sacs et de seaux. Vakme semble tenir la chaîne de Cordy comment un bandeau. Elle s'arrête pour parler à un vendeur vert et cornu.
Vakma : Donnez moi six paquets de hefroot, cinq queeks, une bouteille de liqueur flip, et une spatule.
Cordy : Hum, Vakma ? C'est...avant cette...cette fille dans la grange...
Vakma : Tais-toi, vache ! Trensiduf du Clan Gathwok avait raison. Tu parles trop. Et tu vas renverser mon lait de vipère.
Cordy : Et bien, je...je suis désolée. C'est juste que si je ne portais pas tout...(fait une grimace et commence à vaciller) Oh, non.
Vakma : Tiens toi droite, vache. Ce lait vaut plus de toi.
Cordy tombe alors qu'elle est frappée par une vision.
Vakma : Mauvaise vache ! Mauvaise !
Des images floue d'un Drokken et d'un homme démon criant.
Cordy : Un Drokken. Attaque un de vos villageois, près de la forêt, sur un...un gros rocher jaune.
Un rond de villageois s'est formé autour d'elle, quelques démon à la peau pâle, des autres à la peau verte, quelques un d'entre eux habillés dans le type d'armure que Landok portait.
Cordy : Est-ce que personne ne vas me dire si je vais bien ?
Vakma la montre : Maudite ! Ma vache est maudite !
Cordy, encore assise par terre tend une main pour essayer d'éviter les fourches pointées sur elle.
Cordy : Non, attendez. Attendez ! Ce n'est pas une malédiction ! Ce villageois, vous devez aller le sauver, ou le Drokken va...
Se traîne alors que la foule bouge des épées et pointes des fourches sur elle, chantant 'maudite, maudite'.
L.A. nuit, la décapotable d'Angel, Wesley est dans le siège du passager, Lorne à l'arrière roulant doucement.
Lorne : Ici. Arrête toi là.
Angel arrête la voiture.
Angel : Ici ? Ce n'est pas un studio de cinéma ?
Lorne : Ca a un certain sens, non ? De toute façon, c'est là que Aggie a dit que c'était. Et Aggie ne se trompe jamais quand il s'agit de points chauds. Elle faisait un barreau du ciel avant Brad et Jennifer. De toute façon...vous avez le livre ? (Wesley le lève) Bien. Tient bien ce chiot, ok ? C'est aussi mal que ce que je traverse. Le dernière chose que je voudrais faire est d'être aspiré de l'autre côté, attendant un serrurier mystique.
Wesley : D'accord. (regarde Angel) Je suppose qu'on devrait sûrement commencer.
Angel hoche la tête, puis : Je devrais...tu sais, je ne sais pas, peut-être mettre la capote ?
Wesley : Ca ne devrait pas être nécessaire. Si j'ai raison, nous avons juste besoin d'une enceinte de métal sur cinq côtés afin d'assurer qu'on voyagera à travers le portail ensemble. La voiture, capote baissée ou pas, devrait faire l'affaire. Je suis presque positif.
Angel met une main sur le livre sur les genoux de Wesley.
Angel : Presque.
Wesley : Quatre-vingt....seize pour cent. (Angel s'enfonce dans son siège) Et bien, ce n'est pas comme si je n'avais jamais fait ça avant ! Et avec le facteur temps je suis sous une grande affaire de...
Gunn : Oh, fais pas chier, l'Anglais.
Gunn saute sur le côté de la voiture vers le siège arrière derrière Angel.
Wesley : Gunn. Comment est-ce que tu...
Gunn regarde Angel : J'ai reçu un message. On aurait dit le capitaine du Titanic près à couler avec le bateau.
Wesley regarde Angel.
Angel : Je...j'ai juste pensé...que quelqu'un de ce côté...devrait...connaître les détails...au cas...
Lorne : Un homme de secours ! Idée terrifiante ! Et bien, maintenant qu'il est là, je suppose que quelqu'un devrait rester ici, garder la boutique. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas déçu. Donnez moi juste quelque chose de joli pour...
Lorne essaye de sortir de la voiture, mais chacun d'entre eux posent une main sur lui pour le rasseoir et dire en choeur 'ferme là'.
Wesley : Tout le monde est installé ?
Gunn : Allons faire un coup.
Wesley : C'est vrai. (ouvre le livre) On y va. Krv Drpglr pwlz chkwrt strplmt dwghzn prqlrzn lffrmtplzt!
Gunn regarde alors que le portail commence à se former devant eux.
Gunn : Cool.
Angel : Quatre vingt seize pour cent, hein.
Wesley : A prendre ou à laisser.
Angel : Ok, messieurs, jetez un bon coup d'oeil aux alentours.
Ils s'attachent tous.
Angel : Maintenant dites au revoir !
Regarde Wesley, puis roule vers le portail. Alors que la voiture disparait dans le trou tourbillonnant le livre se pose dans la rue derrière lui, fumant même un peu.
Pause.
La décapotable d'Angel se pose sur l'herbe entre quelques arbres de Pylea ensoleillée, les cris des passagers résonnent dans l'air, puis viennent dans un arrêt strident. Angel bondit sur son siège.
Angel : Le soleil. La lumière du jour. Vite. Donnez moi une couverture. Donnez une couverture ou je vais prendre feu !
Wesley cherche un peu une couverture alors qu'Angel essaye de monter sa veste en cuir pour couvrir sa tête.
Angel : Donnez moi une couverture ! Je vais prendre feu !
Wesley lui tend une couverture mais au lieu de la prendre, Angel baisse les yeux sur ses mains, puis autour de lui.
Angel : Pourquoi je ne suis pas en feu ?
Gunn : Yo, c'était super !
Wesley : Et bien, c'est une autre dimension. Peut-être que leur soleil...
Lorne : Marche arrière, Copernicus. (montre le ciel) Ce sont des soleils. Au pluriel.
Tout le monde regarde les deux soleils dans le ciel.
Wesley : Des soleils. Oui. Et bien, peut-être qu'ils n'ont pas le même effet sur les vampires.
Wesley pince la joue d'Angel, le faisant bondir et se tourner sur son siège.
Angel : Hé ! Fais gaffe. D'accord ?
Wesley pince la joue d'Angel.
Angel : Hé !
Angel baisse sa main puis se venge en pinçant Wesley.
Wesley : Fascinant !
Gunn : Est-ce que vous voyez tous que la rue fait ce genre de virage ?
Angel à Lorne : Alors, on l'a fait. C'est ton monde.
Lorne : Oh oui. Maison sucré enfer.
Angel : Ha ! Je ne suis pas en feu.
Wesley : Et nous sommes ensemble. (se regarde puis regarde Lorne et Gunn sur le siège arrière) Et on ne s'est pas fusionnés dans des jumeaux Siamese bizarres !
Gunn : C'était un risque ? Comment ça se fait que personne ne m'a dit que c'était un risque ?
Angel bondit pour se tenir son siège et d'étendre ses bras en regardant les soleils.
Angel : Est-ce que tout le monde peut vois à quel point je ne suis pas feu ?
Lorne : Ouais, c'est un jour magnifique dans les environs. Maintenant, est-ce que je peux suggérer qu'on trouve un moyen de cacher la voiture ? Ca paraître un peu évident, de voir qu'on a pas qu'on a pas de décapotables dans ce monde. Ou vous savez, de voitures.
Ils sautent tous sur les côtés de la voiture.
Gunn : Je me demande si c'est ici que Cordy est arrivée.
Wesley : Ca se pourrait.
Angel : Commençons à réunir quelques branches, quelques taillis. Quelque chose pour couvrir la voiture. Oh, hé, regardez. Il y en a dans ce carré de soleil. Je vais les prendre !
Cours. Se baisse pour prendre les branches, mais au lieu de se tourner pour se dorer aux soleils, il prend une grande inspiration.
Gunn à Wes : Hé, je vais te les donner. Voyager dans un univers alterné ? Affreusement cool.
Lui et Wes font une poignée de main élaborée.
Gunn : Mais je voudrais trouver Cordy, vite.
Lorne : Moi aussi. Et bien, je...je veux dire pour son égard bien sûr. Si je connais Pylea, elle pourrait sûrement utiliser un ami maintenant.
Cordy est jetée face au sol d'une grande pièce avec un plafond en voûte, éclairée par des torches plantées dans des bobèches de mur. Il y a les villageois entassés le long des murs. Cordy, ses mains bandées derrière son dos, se crispe lentement en s'asseyant.
Cordy : Uhm, j'aurais juste aimer dire...que je ne sais rien sur une malédiction. O.K ? J'ai seulement ces visions qui...
Elle remarque que quelques-uns des villageois se tournent pour regarder vers elle.
Cordy : Je ne les reçoit pas très souvent.
Narwek entre : Nous avons découvert le corps sur le rocher de Dester. Une créature Drokken s'est nourri de sa chair.
Cordy : Oh mon dieu, c'est toi. Vous voyez, je suis vraiment désolé concernant ça. Honnêtement. Mais je n'ai pas fait arriver ça, je le voyais juste.
Narwek : Avant que ça s'est passé.
Cordy : Exactement.
Narwek : C'est la malédiction!
Cordy : Non. Pas de malédiction. Juste des visions. Elles ne sont pas dangereuse. Je les utilisent pour aider les gens.
Voix grave : Assez.
Un démon habillé de rouge, à visage rouge vient vers elle.
Silas : Nous devons découvrir au-delà du doute si cette fille est maudite par l'aspect. Nous voulons commencer le test.
Cordy : Test. Mais je n'ai pas révisé...Pas plus avec l'humour, n'est-ce pas, les gars ?
Silas : Apportez l'instrument.
Deux robes rouges portent une table avec divers instruments sur elle. Silas ramasse un grand perçoir et le lève.
Silas : Maintenant nous allons voir si tu es vraiment maudite, mon enfant...je pris que tu ne le sois pas.
Cordy : S'il vous plaît. S'il vous plaît. Je vais le garder pour moi. Je ne les mentionnerai plus. S'il vous plaît non. Non! Non!
Cordy se penche aussi loin qu'elle peut alors que Silas se rapproche et commence à crier.
Cordy : Aidez moi! Au secours!
Angel : Ca devrait faire l'affaire. Êtes-vous prêt?
Les gars couvrent la voiture avec des branches.
Lorne : Ouais. Je pense que nous sommes seulement à quelques mille de la ville, mais nous allons devoir marcher.
Angel : Pas de problème ici, marcher dans le soleil. Eh, le faire tout le temps.
Wesley tape Angel dans le dos : Oui, nous sommes tous cordialement conscient que tu n'est pas en feu...On devrait y aller ?
Wes commence à suivre le Host puis appelle par-dessus son épaule : N'oubliez pas le livre.
Angel bloque.
Wesley : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Angel : Je pense juste que ce n'est pas drôle.
Wesley : Je n'essayait pas d'être...Quoi ?
Angel : Wesley, je n'ai pas le livre.
Lorne : Quoi ?!
Angel pointe vers Wesley : Tu avais le livre.
Wesley : Je n'ai pas le livre.
Gunn : Qui avait le livre ?
Angel dit 'Wesley' alors que Wes dit 'Angel.'
Wes et Angel parlant ensemble : Non, je ne l'avais pas..Si tu l'avais!
Lorne : Whoa. Ho, ho, whoa. Est-ce que nous avons regardés dans la voiture ?
Angel : Il n'y a rien. J'ai vérifié avant qu'on commence à la cacher pour être sûr qu'on avaient rien oublié.
Lorne : Oh! Comment dire le livre!
Wesley : Arrêtez.. Le livre était dans la voiture. C'est tout ce que nous savons. Mais, mais peut-être...peut-être que sa seule fonction est d'ouvrir des portails vers Pylea. Dans ce cas il serait inutile à Pylea et donc...il existe seulement dans notre propre dimension.
Lorne : Oh. Vous savez, d'habitude je m'occupe bien des mauvaises nouvelles. Je noie juste mes peines dans un gin froid et tonic, une petite pression de citron, excepté là où ils ne l'ont pas !!
Angel : Les gars. Les gars. Vous les gars. On va trouver un autre moyen de rentrer. Nous allons le faire. Mais maintenant on va trouver Cordélia, O.K ? C'est pour ça qu'on est ici, pas vrai ?...Elle a besoin de nous...Allons y.
Ils partent tous ensemble.
Wesley : Tu as pris le livre quand...
Lorne : Je n'arrive pas à le croire...
Cordy est blottie sur le sol de la grande pièce, avec les gens attendant autour d'elle. Silas marche vers elle.
Silas : Les tests sont terminés. C'est la décision unanime du contrat que la fille...est affligée. (La foule commence à bouger et murmurer) Elle porte la malédiction de la vue.
Silas fait un signe de la tête à ses camarades à robes rouges et deux d'entre eux attrapent Cordy et la traînent hors de la pièce.
Angel et les autres ont atteint la ville et marchent vers une allée étroite et sombre.
Lorne : Rappelez-vous juste, de garder vos têtes en bas. Une sorte de xenophobie d'un mot de passe de là d'où je vient.
Gunn : Je ne comprend pas ça. Pourquoi ont-ils peur de Xéna ? Je veux dire, je trouve qu'elle est une sorte de battante.
Wesley : Xenophobie. Peur des étrangers ?
Gunn : Oh. Alors est-ce qu'on peut prétendre que je n'ai pas dit ça ?
Ils s'arrêtent à la fin de la ruelle et Lorne montre une maison de l'autre côté de la rue.
Lorne : Maintenant, juste là c'est la maison de Blix...un de mes copain d'enfance. Ah, nous étions les meilleurs des bourgeons, jouant toujours à des jeux, faisant attention pour l'un l'autre, proche comme un démon Torto et son parasite. (en dehors de leur vue) Je vais faire l'approche. Vous trois restez ici...nous devons garder un profil bas.
Angel : Pourquoi ?
Lorne : Parce qu'autrement vous serez battu à mort avec des bâtons. Je reviens vite.
Le Host marche vite dans la rue vers la maison et rentre dedans.
Un moment après nous entendons un cri retentir et le Host revient en courant avec son ami mais qui le chasse avec une hache dans la main.
Blix : Quoi ?!...traître! Déserteur! Divulgateur!
Lorne alors qu'il coure à côté des autres : On devrait courir. Maintenant!
Blix continue de crier attirant l'attention des autres, habillé dans le même costume de héros que Landok portait. Ils sortent leurs épées et rejoignent Blix en chassant dans l'allée comme les autres Angel et les autres se tournent pour courir après le Host.
Ils courent dehors dans le marché poursuivi par les cris de traître et divulgateur. Lorne hésite pendant un moment puis désigne une nouvelle direction. Ils courent dehors sur la place où Cordy était vendue plus tôt, seulement pour trouver des guerriers se rapprochant d'eux de tous les côtés.
Men : Arrêtez les!
Angel : Hey, et maintenant ? On on va maintenant ?
Lorne : Probablement dans le plus proche cachot. Nous sommes encerclés.
Pause.
Wesley : Nous avons traversés beaucoup ensemble, les gars. Combattus beaucoup de batailles. Affrontés quelques joli choses étranges.
Gunn à Angel : Je prends la vingtième sur la gauche, tu prends la cinquantième sur la droite.
Angel : Ok..
Et avec ça ils encgagent les guerriers les entourant. Et pour quelques raisons les Pyleans viennent à eu seulement à un temps, ils ne font pas trop méchamment.
Wesley saute dans le groupe, tournoyant une épée qu'il a juste libéré d'un des poursuivants.
Wesley : Je crois qu'on gagne !
Coupure sur les quatres ligotés et leur genoux dans la merde devant le groupe.
Un char à deux roues, tiré par deux chevaux vient sur la place. Narwek en sort avec un soupir.
Narwek : Krevlorneswath du Clan de la Mort
Lorne : Gendarme Narwek. Content de vous revoir. Alors, comment alliez vous ?
Narwek : Krevlorneswath du Clan de la Mort, tu es revenu...Pourquoi ?
Lorne : En fait je me posais pas la même question.
Narwek : Qui sont ces sales vaches. Tu es habillé...vraiment bizarrement.
Touche le col de la veste de Gunn et Gunn s'éloigne.
Lorne : Ce ne sont pas des sales vaches. Ce sont des humains et ce sont mes amis.
Narwek : Les vaches ne sont pas des amis. Ce sont des créatures de travail. Des bêtes de fardeau, rien de plus! Je ne voudrais pas savoir où tu as été, Krevlorneswath du Clan de la Mort, mais il est clair que tu as abandonné l'enseignement de ton peuple. (à quelque uns des guerriers avec des casques qui l'accompagnent) Emmenez le. Nous allons commencer les interrogations immédiatement.
Lorne se tourne pour regarder Angel, agenouillé à côté de lui, pendant que les gardes le saisissent par-dessous ses bras et le l'entraînent.
Angel : Attendez! Vous ne pouvez pas faire ça.
Lorne pendant qu'il est entraîné : Quoi ? Hey, faites gaffe les gars !
Narwek : Tu oses te servir de ta langue en ma présence ?
Traîne et donne un coup de pied entre les jambes d'Angel.
Angel se tourne avec un léger gémissement.
Narwek : Saleté indigne.
Angel se force à se relever droit.
Trois guerriers viennent et les mettent tous sur pieds.
Narwek : Pour le crime d'assaut...contre ces jugés pour être vos meilleurs...vous allez être détenus jusqu'à ce que notre altesse royale ordonne votre sentence.
Gunn : Je crois que je service de communaunté est parti.
Narwek regarde Gunn qui relève un peu son menton.
Narwek vient devant Gunn et le frappe fort dans le ventre.
Angel essaye de venir à son secours mais est retenu par quelques-uns des guerriers.
Wesley baisse les yeux, ne bougant pas.
Gunn tousse et se redresse lentement.
Gunn : Trop bête. J'aime vraiment ces tricots oranges.
Narwek le frappe fort au menton.
Gunn se retourne, parvient à se rattraper contre le groupe.
Wesley : Gunn, arrête.
Narwek se déplace pour être devant Wesley, qui le regarde sans broncher.
Narwek : Eloignez ces choses.
Quelques-uns des guerriers les emmènent.
Silas dans une pièce sombre éclairé par des torches.
Silas : Le moment est arrivé mes frères...elle est certes maudite par la vue...Des mesures doivent être prises...Le sang doit être répandu.
Wes, Gunn et Angel sont dans une simple cellule. Gunn est assis sur le sol couvert de paille, grognant pendant qu'il essaye de casser la chaîne liant les anneaux sur ses poignets. Tous les trois ont leur pieds et poings enchaînés.
Gunn : Ce n'est pas le peine. Cette chose a été faite dans une sorte d'alliage magique.
Wesley : Vraiment ? (regarde vers ses chaînes) Comment peut-tu le dire ?
Gunn : Je ne peux pas. Je suis juste en train de me faire sentir mieux.
Wesley pose ses mains : Oh.
Gunn se met sur ses pieds.
Wesley à Angel : Tu as trouvé quelque chose maintenant ?
Angel s'éloigne de la porte.
Angel : Scellé hermétiquement. Ca doit faire six...sept pouces de large au moins. Et toi ?
Wesley : Non. Non, ces murs de pierre impénétrables prouvent être plutôt...
Gunn : Tu dis impénétrable et je vais te botter le cul.
Wesley : J'ai toujours été horrifié par ces histoires concernant la tour de Londres.
Angel : Ce n'était pas si mal.
Wes et Gunn se tourne pour regarder vers Angel.
Wesley : Oui ?... Eh bien, comparé à cet endroit je suis sûr que la tour prend un certain...éclat nostalgique. Je me demande si ils sont en train de mieux traiter le Host.
Angel s'éloigne du mur et va vers la porte.
Gunn : Et bien, sûrement. La façon dont le gendarme a dit interrogation je crois qu'il est juste là pour un petit coup de poing de lumière...Cai...ou il est mort.
Angel : Ferme là.
Gunn : Eh bien, je n'ai pas dit qu'il n'est pas en train de se faire frapper.
Angel : Non, tais-toi.
Angel presse son oreille contre la porte et les deux autres viennent vite en traînant les pieds, leurs chaînes cliquetant.
Gunn : Comment sommes-nous supposé entendre quelque chose...
Angel l'arrête impatiemment.
Angel : Je peux entendre deux hommes parlant dans le hall.
Gunn regarde vers Wes.
Wesley chuchote : Vampire.
Angel : Parlant d'une fille avec des visions.
Gunn : Cordy!
Angel : Un contrat...une malédiction...quelque chose sur tester la fille pour la vue...Ils disent qu'elle criait.
Wesley, silencieusement : Ces bâtards!
Angel : Ils vont l'emmener dans un château...Nous allons être jugés.
Wes et Gunn échangent un regard.
Angel s'éloigne de la porte.
Angel : Ils arrivent.
Tous les trois se traînent vite loin de la porte.
La petite fenêtre dans la porte est ouverte et un garde casqué regarde à l'intérieur. Voyant les trois assis dans le fond de la cellule, il ouvre la porte.
Guard : Dehors, prisonniers!
Wes et co. se traînent dehors.
Alors qu'ils marchent dans le couloir on peut des coups de cravache, chacuns suivi par un cri.
Angel doucement : Soyez prêt.
On a une vue de l'extérieur d'un château sur une colline surplombant le village.
Le Host se tourne pendant que les gardes amènent Angel et les autres dans un couloir où il est assis.
Lorne : Oh. Je suis content de vous voir...Et tellement moins mort que j'avais espéré.
Angel : Qu'est-ce qu'ils t'ont fait ?
Lorne : Oh, eh bien, primo il y avait la parade de bienvenue à la maison lancée en mon honneur. (Lève ses mains enchaînées) Montre attachée, manchettes. Honnêtement, je suis si touché, j'en pleure presque.
Angel regarde en arrière vers Wes et Gunn.
Lorne : Ils m'ont enfermés dans une pièce, ils m'ont poussés, demandé un tas de questions. Vos films noir standard.
Angel doucement : Je crois qu'on peut avoir une piste sur Cordy.
Lorne : Vous l'avez trouvés ?
Angel : Non. (bouge vers Wes et Gunn et ils se rapprochent en se traînant) J'ai surpris deux mecs parlant d'une fille avec des visions. Disant qu'elle était damnée.
Lorne : Mince. Je n'aime pas ça.
Angel : Est-ce qu'ils ont mentionné quelque chose concernant un contrat ? Ah, quelque chose sur faire des tests sur elle ?
Wesley : Angel, je déteste exposer l'évidence, mais nous avons besoin de sortir d'ici.
Narwek vient dans le couloir.
Narwek : Silence. Krevlorneswath du Clan de la Mort, toi et les vaches sales n'avez pas à parler.
Lorne : Ah, occupe toi de ton slip, Narwek.
Narwek : Tu...est un traître dans ta maison. Tu as abandonné ta vie de donateur, trahi ton peuple et maintenant tu t'accordes avec ces...animaux...Je vais prendre un grand plaisir en les regardant te tuer lentement.
Angel doucement : Ils nous prennent séparément ou ensemble ?
Lorne : Quoi ?
Angel : Séparément ou ensemble. Vite. Nous n'avons pas beaucoup de temps.
Lorne : Je ne sais pas! J'ai n'ai jamais été condamné à mort avant...ensemble ?
Angel : Ecoutez.
Narwek à un des gardes : Après ça, traîne les corps à la place du village. Nous allons suspendre leur cadavres comme un avertissement...Prisonniers! Le jour du jugement est arrivé. Approchez ! Le vénérable monarque de Pylea, Général de la Légion Féroce, Mangeur de la Chair de Nos Ennemis, Prélat des Rites de Sang Sacrificiels, et Souverain Proconsul de Mort, est préparé à passer la sentence sur vous.
Angel doucement : Un.
Narwek aux gardes : Ouvrez les portes.
Les gardes ouvrent les portent et conduisent les prisonniers.
Angel : Deux.
Alors qu'ils traversent les portes, Angel se tourne soudainement et jette violemment ses poings enchaînés dans le ventre du garde le plus proche pendant que les autres attaquent aussi les gardes autour d'eux.
Ils sont interrompu par un fort éclaircissement de gorge, ils se retournent pour regarder et ils se glacent tous sur leur chemin, leurs yeux s'élargissant, leurs bouches s'ouvrant.
Ils regardent vers...Cordy...assise sur un trône, encerclée par des courtisans, portant une tenue minuscule et chatoiyante et une couronne.
Cordy : Salut, les gars.
